Bonjour mes chers passionnés d’assurance et futurs experts du courtage ! Je sais, je sais… L’examen de courtier en assurance, c’est un peu le Everest de notre profession, n’est-ce pas ?

Et quand on est à la veille du grand jour, le stress peut vite monter en flèche. On a cette impression de ne jamais être assez préparé, que la moindre information manquante pourrait tout gâcher.
Je l’ai vécu moi aussi, et croyez-moi, cette petite boule au ventre, c’est tout à fait normal. Surtout dans un secteur en pleine effervescence ! Saviez-vous que le marché français de l’assurance est en constante mutation, avec l’intégration croissante du numérique et l’arrivée de nouvelles réglementations en 2025, exigeant encore plus de nous, les courtiers ?
La digitalisation des services, la personnalisation des offres grâce à l’IA, et la résilience numérique ne sont plus de simples tendances, mais des réalités bien ancrées qui redéfinissent notre rôle et nos compétences.
Alors, comment transformer ce trac en une force tranquille, et s’assurer que cette dernière journée soit une vraie réussite avant l’heure H ? Ce n’est pas le moment de tout réviser à la va-vite, mais plutôt d’adopter une stratégie maline pour optimiser vos chances.
J’ai personnellement découvert qu’une bonne préparation mentale et logistique est aussi cruciale que la maîtrise de vos connaissances. De l’importance d’une nuit de sommeil réparatrice aux astuces pour gérer l’anxiété, en passant par les derniers détails pratiques pour éviter tout imprévu, chaque petit geste compte.
C’est un peu comme préparer le terrain avant de semer : plus le terrain est prêt, plus la récolte sera abondante ! Dans les lignes qui suivent, je vous dévoilerai toutes mes pépites pour aborder cet examen avec sérénité et confiance, en tenant compte des évolutions récentes du secteur qui pourraient bien se retrouver dans les questions.
Vous verrez, avec les bonnes méthodes, la veille d’examen peut devenir un véritable atout. Découvrons ensemble comment faire de cette dernière ligne droite un tremplin vers votre succès !
Dompter le trac : Mes astuces anti-stress pour une veille sereine
Ah, le stress de la veille d’examen ! Je me souviens encore de cette boule au ventre avant mon propre examen de courtier. C’est comme une petite alarme qui se déclenche dans notre esprit, nous rappelant l’enjeu. Mais croyez-moi, ce n’est pas une fatalité ! Ma première astuce, et sans doute la plus précieuse, est de reconnaître ce sentiment sans le laisser vous submerger. J’ai personnellement découvert que vouloir absolument tout contrôler la veille ne fait qu’accentuer l’anxiété. Au lieu de cela, j’ai mis en place une routine de “décompression” qui m’a incroyablement aidé. Il s’agissait de remplacer les révisions intensives par des activités légères qui me permettaient de relâcher la pression accumulée. Pensez à une courte promenade dans un parc, écouter de la musique douce ou même faire quelques exercices de respiration. Ce n’est pas du temps perdu, c’est investir dans votre bien-être mental, qui est primordial pour la performance le lendemain. J’ai remarqué que ma mémoire était bien plus efficace quand mon esprit était clair et apaisé, plutôt qu’engorgé de dernières informations à retenir à tout prix. Ce calme intérieur est votre plus grand atout.
Respiration et pleine conscience : Vos ancres anti-panique
J’ai testé et approuvé : quelques minutes de respiration profonde peuvent faire des miracles. Quand cette petite voix intérieure commence à vous murmurer des doutes, prenez simplement quelques grandes inspirations et expirations lentes. Concentrez-vous sur le mouvement de votre ventre, sur l’air qui entre et sort. C’est une technique que j’utilise encore aujourd’hui, même en dehors des situations stressantes, pour me recentrer. Ça aide à ramener le corps et l’esprit au moment présent, loin des scénarios catastrophes que notre cerveau adore imaginer. N’hésitez pas à vous offrir cette bulle de calme, elle est essentielle.
Une soirée cocooning : Bannissez les écrans et le travail
La veille, mon mot d’ordre était : “détente absolue”. Cela signifiait pas de nouvelles révisions après une certaine heure, et surtout, aucun écran ! L’idée est de préparer votre cerveau à une bonne nuit de sommeil. J’ai remplacé les fiches de révision par un bon livre (sans rapport avec l’assurance, bien sûr !), une tisane relaxante, et une ambiance tamisée. C’est une erreur commune de vouloir grappiller des heures de révision jusqu’au bout, mais j’ai constaté que cela ne fait que fatiguer et rendre moins lucide le jour J. Préférez la lecture d’un roman, un bon film léger, ou même un repas savoureux préparé en famille. Votre esprit a besoin de décrocher pour mieux consolider ce qu’il a déjà appris.
La révision intelligente : Moins, c’est plus la veille de l’examen
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la veille d’un examen n’est pas le moment de se plonger dans de nouveaux chapitres ou de tenter de tout relire. J’ai fait l’erreur par le passé, et ça n’a fait qu’augmenter ma confusion et mon sentiment d’insuffisance. Ma philosophie a évolué vers une approche beaucoup plus ciblée : il s’agit de conforter les acquis, pas de découvrir de nouvelles informations. Pensez-y comme à la dernière vérification d’un athlète avant une course : il ne va pas apprendre de nouvelles techniques la veille, mais plutôt s’échauffer et se mettre en condition. Pour l’examen de courtier en assurance, j’ai personnellement passé mes dernières heures de révision à survoler mes fiches synthétiques, celles que j’avais créées au fur et à mesure, résumant les points clés et les formules importantes. C’est un exercice de confiance en soi, qui permet de se rassurer sur l’étendue de ses connaissances sans se noyer. J’ai aussi remarqué que relire des exemples concrets ou des études de cas qui m’avaient marqué était bien plus efficace pour ancrer la compréhension que de réciter des définitions arides. L’idée est de stimuler la mémoire à long terme sans surcharger la mémoire de travail déjà bien sollicitée.
Flashcards et fiches de synthèse : Vos meilleurs alliés
Les flashcards ont été une révélation pour moi. Je les utilisais pour les définitions complexes, les acronymes ou les chiffres clés. La veille, je me suis contenté de les parcourir rapidement, sans chercher à tout mémoriser à nouveau, mais simplement pour “rafraîchir” ma mémoire. C’est un peu comme si je m’assurais que toutes les portes étaient bien ouvertes dans mon esprit pour le lendemain. Les fiches de synthèse, quant à elles, permettaient un aperçu global des grands thèmes. C’est une manière très visuelle de confirmer que l’on a couvert l’essentiel et de repérer rapidement les points sur lesquels on se sentait déjà très à l’aise.
Exercices ciblés : Revoir sans refaire tout un examen blanc
Plutôt que de me lancer dans un examen blanc complet qui aurait été épuisant, j’ai préféré faire quelques exercices ciblés sur mes points faibles identifiés précédemment. Par exemple, si les calculs de cotisations ou les spécificités de la loi Hamon me posaient encore problème, je refaisais un ou deux exercices précis sur ces sujets. L’objectif n’était pas de maîtriser parfaitement en une soirée, mais de consolider ce qui pouvait l’être et de me sentir plus confiant. C’est une approche pragmatique qui évite de se décourager face à des difficultés de dernière minute, et qui cible l’amélioration là où elle est la plus nécessaire.
Le jour J n’attend pas : Préparer sa logistique pour éviter tout imprévu
On a beau avoir la tête pleine de savoirs, si la logistique du jour J n’est pas au point, tout peut basculer. Je me souviens d’une amie qui a failli rater son examen à cause d’un oubli de carte d’identité ! C’est le genre de stress dont on se passerait bien. Ma méthode a toujours été de tout préparer la veille au soir, comme un rituel. Vêtements, documents d’identité, convocation, stylos (et de rechange, on ne sait jamais !), calculatrice (si autorisée et vérifiée !), et même un petit encas. L’idée est de réduire au maximum les décisions à prendre le matin de l’examen, afin de conserver toute votre énergie mentale pour l’épreuve. J’ai même préparé ma tenue la veille, optant pour quelque chose de confortable mais professionnel. On a tendance à sous-estimer l’impact du confort physique sur la concentration. S’assurer d’avoir un trajet fluide, de connaître l’itinéraire exact, et d’arriver en avance est aussi crucial. Mieux vaut attendre quelques minutes sereinement que de courir et arriver essoufflé et stressé. C’est une forme de respect envers le travail que l’on a fourni pendant des mois.
Le sac de combat : Votre trousseau de survie de l’examiné
Mon “sac de combat” pour le jour J comprenait toujours : ma convocation, une pièce d’identité valide (vérifiez la date de péremption, c’est bête mais ça arrive !), trois stylos bleus ou noirs (oui, trois !), un correcteur discret, une calculatrice homologuée, une bouteille d’eau et une petite collation facile à manger (barre de céréales, fruit). J’ajoutais toujours des mouchoirs et, pour les plus prévoyants comme moi, des bouchons d’oreille pour la concentration si l’environnement était bruyant. C’est une petite liste, mais elle fait toute la différence. On ne veut surtout pas être distrait par un détail pratique en plein milieu de l’épreuve.
L’itinéraire sans faute : Repérage et prévision
Si vous ne connaissez pas le lieu de l’examen, une petite reconnaissance la veille (même via Google Maps et Street View) peut vous épargner bien des soucis. Vérifiez les transports en commun, les parkings si vous venez en voiture, et prévoyez une marge confortable. Personnellement, j’ai toujours visé d’arriver au moins 30 minutes en avance. Cela me donnait le temps de trouver ma salle, de m’installer tranquillement, de passer aux toilettes si besoin, et de respirer un bon coup avant de commencer. Un départ serein est la meilleure façon de poser les bases d’un examen réussi.
Votre corps, votre allié : Nutrition et sommeil pour un esprit vif
Il est facile d’oublier que notre corps est l’outil principal de notre cerveau, surtout en période d’examen. J’ai appris à mes dépens qu’une mauvaise nuit de sommeil ou un repas trop lourd pouvait ruiner des semaines de révision. Ma règle d’or la veille d’un examen est de privilégier un dîner léger et équilibré. Oubliez les plats épicés ou trop gras qui pourraient perturber votre digestion et donc votre sommeil. J’optais toujours pour des glucides lents comme des pâtes complètes ou du riz, accompagnés de légumes et d’une source de protéines maigre. C’est une sorte de “carburant premium” pour le cerveau. Et le sommeil, ah, le sommeil ! C’est sans doute le facteur le plus sous-estimé. J’ai toujours visé au moins 7 à 8 heures de sommeil. Même si l’anxiété peut rendre l’endormissement difficile, les techniques de relaxation que j’ai évoquées plus tôt aident grandement. Pensez à votre sommeil comme à une période de consolidation pour votre mémoire. C’est pendant que vous dormez que votre cerveau organise et fixe toutes les informations que vous avez ingérées. Négliger ce point, c’est comme demander à une voiture de course de rouler à plein régime avec un moteur encrassé.
Le dîner parfait : Léger, mais énergisant
Un bon dîner la veille, c’est la clé d’une nuit paisible. J’évitais le café ou le thé après le milieu de l’après-midi pour ne pas perturber mon cycle de sommeil. À la place, une infusion aux plantes apaisantes (camomille, verveine) était ma boisson de choix. Le repas était toujours composé de choses que j’aimais et qui me faisaient me sentir bien, mais sans excès. C’est le moment de se faire plaisir sainement, sans prendre de risques avec des aliments inconnus ou potentiellement indigestes. Un bon poulet vapeur avec du riz et des légumes verts, par exemple, était un de mes classiques.
La nuit des héros : Un sommeil réparateur
Pour favoriser un sommeil réparateur, je m’assurais que ma chambre était parfaitement sombre, fraîche et silencieuse. J’éteignais tous les appareils électroniques bien avant d’aller me coucher. Si malgré tout le sommeil tardait, je ne paniquais pas. Je me rappelais que le simple fait de se reposer au calme était déjà bénéfique, même sans un sommeil profond et continu. L’important est de se lever le matin en se sentant aussi frais que possible, et non épuisé par une nuit d’insomnie et de stress. Une petite astuce personnelle : j’ouvrais un peu la fenêtre avant de dormir pour aérer la pièce, ça me donnait une sensation de fraîcheur et de renouveau.
Gardez une longueur d’avance : Anticipez les questions “nouvelles tendances”
Le monde de l’assurance est en perpétuelle évolution, et les examinateurs adorent s’assurer que les futurs courtiers sont à jour. Je l’ai constaté lors de mon propre examen : les questions ne se limitaient pas aux bases, elles intégraient souvent les dernières actualités du secteur. Les réglementations de 2025, la digitalisation, l’IA dans l’évaluation des risques, la cyber-assurance… autant de sujets qui sont devenus incontournables. La veille, je ne me suis pas lancé dans des recherches approfondies, mais j’ai relu rapidement les articles de presse spécialisée que j’avais mis de côté, ou les synthèses sur les tendances que j’avais créées. Il s’agissait de rafraîchir ma mémoire sur les grands enjeux et les termes clés. Par exemple, comprendre l’impact de la loi sur la résilience numérique (DORA pour Digital Operational Resilience Act) sur les pratiques des assureurs peut être une question piège. Ou encore, comment l’IA transforme la personnalisation des offres d’assurance. C’est une manière de montrer votre professionnalisme et votre capacité à vous projeter dans l’avenir du métier. On ne vous demande pas d’être un expert en technologie, mais de comprendre les implications de ces changements pour nos clients et nos pratiques. Voici un petit tableau récapitulatif des tendances à avoir en tête :
| Tendance Clé | Impact sur le Courtier en Assurance | Exemple Concret |
|---|---|---|
| Digitalisation et Omnicanalité | Nécessité de maîtriser les outils numériques, présence en ligne, communication fluide sur tous les canaux. | Gestion de contrats via une application mobile, signature électronique. |
| Intelligence Artificielle (IA) | Optimisation de la personnalisation des offres, aide à la détection de fraude, analyse prédictive des risques. | Chatbots pour le service client, analyse de données pour des primes sur mesure. |
| Réglementations 2025 (ex: DORA) | Exigences accrues en matière de cybersécurité et de résilience numérique. | Mise en place de protocoles de sécurité renforcés, plans de continuité d’activité. |
| Assurance Durable et ESG | Intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance dans l’offre et l’analyse de risque. | Produits d’assurance pour véhicules électriques, investissements “verts”. |
Veille sectorielle rapide : Les titres qui comptent

La veille, je passais une quinzaine de minutes à parcourir les gros titres des magazines professionnels ou des blogs spécialisés que je suis régulièrement. Il ne s’agissait pas de lire en détail, mais de capter l’air du temps. Quels sont les sujets qui reviennent le plus ? Quelles sont les nouvelles lois qui font parler d’elles ? Cette démarche m’a souvent permis de faire des liens pertinents dans mes réponses le jour J et de montrer une compréhension globale des enjeux. C’est un petit plus qui peut faire la différence et impressionner les correcteurs par votre curiosité et votre proactivité.
Impact de l’IA et la Cybersécurité : Des notions clés
Dans un monde de plus en plus connecté, la cybersécurité et l’impact de l’IA sont des thèmes récurrents. Je m’assurais de comprendre les bases : pourquoi la cyber-assurance est-elle cruciale aujourd’hui ? Comment l’IA peut-elle aider à mieux cibler les besoins des clients ou à simplifier la souscription ? Avoir ces concepts en tête, même succinctement, montre que vous êtes un courtier ancré dans la réalité de 2025 et au-delà. C’est une valeur ajoutée indéniable pour notre profession.
Le check-up final : Ne laissez rien au hasard avant de foncer
Après avoir géré le stress, la révision et la logistique, il y a une dernière étape, celle du “check-up final” qui m’a toujours rassuré. C’est le moment de passer en revue tous les petits détails qui, pris individuellement, semblent insignifiants, mais qui ensemble, peuvent faire basculer la journée. Par exemple, avez-vous bien rechargé votre téléphone pour le réveil ? Est-ce que votre montre fonctionne correctement ? Avez-vous mis une petite bouteille d’eau dans votre sac ? Ce sont des questions simples, mais répondre “oui” à chacune d’elles renforce votre sentiment de contrôle et de préparation. J’ai aussi pris l’habitude de prévoir un petit-déjeuner nutritif pour le lendemain, histoire de ne pas avoir à y penser au saut du lit. C’est une manière de prendre soin de soi jusqu’au bout. Cette routine du “check-up” est une forme de clôture mentale. Elle vous permet de dire à votre cerveau : “Voilà, tout est en place, tu peux te reposer maintenant.” C’est une sensation de légèreté et de confiance qui s’installe, bien plus agréable que le sentiment d’avoir oublié quelque chose d’important.
La tenue du succès : Confort et confiance
Choisir sa tenue la veille n’est pas qu’une question de mode. Il s’agit de confort. J’ai toujours privilégié des vêtements dans lesquels je me sentais bien, ni trop serrés, ni trop lâches, et adaptés à la température prévue. Une tenue qui nous met à l’aise contribue à réduire le stress et à améliorer la concentration. On ne veut pas être distrait par une chemise qui gratte ou un pantalon trop serré. C’est un petit détail, mais le bien-être physique est directement lié à la clarté mentale.
Le réveil matin : Doublons et sécurité
C’est un classique, mais on ne le répétera jamais assez : mettez plusieurs réveils ! J’en avais toujours au moins deux, un sur mon téléphone et un réveil traditionnel, et même parfois un ami qui devait me faire un appel de “réveil amical” au cas où. La peur de ne pas se réveiller est une source de stress inutile. S’assurer d’avoir des sauvegardes pour cette étape cruciale vous permet de dormir plus sereinement. Mieux vaut prévenir que de devoir faire face à une catastrophe matinale, n’est-ce pas ?
Cultiver une mentalité de gagnant : La puissance de la visualisation positive
Au-delà de toute la préparation concrète, il y a un aspect psychologique que j’ai trouvé incroyablement puissant : la visualisation. La veille, avant de m’endormir, je prenais quelques minutes pour m’imaginer réussir l’examen. Je visualisais l’environnement de la salle, ma concentration, ma capacité à répondre aux questions avec assurance, et le sentiment de satisfaction en sortant. C’est une technique que j’ai découverte et qui a changé ma façon d’aborder les défis. Notre esprit est un outil incroyable, et si nous le nourrissons de pensées positives et de scénarios de succès, il est plus enclin à les concrétiser. Ce n’est pas de la magie, c’est de la préparation mentale pure. J’ai remarqué que cela me donnait un sentiment de calme et de confiance, comme si j’avais déjà traversé l’épreuve et réussi. C’est une manière de programmer son cerveau pour la réussite, de balayer les doutes et les peurs qui peuvent nous assaillir. On se donne la permission de réussir, et ça, c’est une force immense. Croyez en vous, c’est la première étape vers la victoire.
Affirmations positives : Votre mantra de réussite
J’ai trouvé utile de me répéter des affirmations positives la veille. Des phrases simples comme “Je suis capable”, “J’ai les connaissances nécessaires”, “Je suis calme et concentré”. Ce n’est pas bête, cela aide à chasser les pensées négatives et à renforcer la confiance en soi. C’est un peu comme un entraînement mental, où l’on muscle sa confiance. Ce petit rituel de quelques minutes avant de dormir ou au réveil peut faire toute la différence sur votre état d’esprit le jour J. Essayez, vous serez surpris des résultats !
Célébrer d’avance : La récompense qui motive
Enfin, je me projetais déjà dans la célébration post-examen. Qu’allais-je faire pour me récompenser ? Un bon restaurant ? Une sortie entre amis ? Prévoir une récompense, même avant l’examen, crée une motivation supplémentaire et une sensation agréable à laquelle se raccrocher. Cela transforme l’épreuve en un passage vers quelque chose de plaisant, plutôt qu’en une montagne infranchissable. C’est une manière de voir au-delà du stress immédiat et de se rappeler pourquoi on fait tout cela : pour l’avenir, pour le succès, et pour les bonnes choses qui nous attendent. Alors, quel sera votre plaisir coupable après l’examen ?
À la fin de cet article
Voilà, mes amis, nous arrivons au terme de ce partage. J’espère sincèrement que mes petites astuces, puisées dans mes propres expériences parfois mouvementées, vous aideront à aborder cette veille d’examen avec plus de sérénité. N’oubliez jamais que votre bien-être est aussi important que vos connaissances. Prenez soin de vous, faites-vous confiance, et allez décrocher cette réussite que vous méritez tant. Je suis de tout cœur avec vous !
Informations utiles à connaître
1. Quand le stress monte, quelques respirations profondes sont votre bouclier anti-panique. C’est simple, gratuit, et incroyablement efficace pour ramener votre esprit au calme.
2. La veille, préparez TOUT votre matériel et vos documents pour le jour J. Cela vous épargnera un stress inutile le matin de l’épreuve et vous permettra de vous concentrer uniquement sur l’examen.
3. Ne sacrifiez jamais votre sommeil ! Une bonne nuit de repos est le meilleur atout pour une mémoire vive et une concentration optimale. C’est là que votre cerveau consolide tout ce que vous avez appris.
4. Privilégiez un dîner léger et équilibré la veille. Évitez le café et les repas lourds qui pourraient perturber votre sommeil et votre digestion. Votre corps a besoin d’énergie saine.
5. Visualisez votre succès ! Avant de dormir, imaginez-vous réussir l’examen, répondant avec confiance. Une mentalité positive est un puissant moteur de réussite.
Résumé des points importants
En résumé, la veille d’un examen n’est pas le moment de tout révolutionner, mais plutôt de consolider et de se rassurer. Misez sur la décompression mentale, une logistique impeccable pour le jour J, une alimentation saine, et un sommeil réparateur. N’oubliez pas l’importance de la préparation mentale et de la confiance en soi. Ces piliers sont votre meilleure stratégie pour transformer le stress en performance et aborder votre examen l’esprit léger et le corps prêt à performer.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: 1: Comment gérer le stress qui monte la veille de l’examen de courtier en assurance ?A1: Ah, le stress de la veille ! Qui ne l’a pas ressenti ? Je me souviens encore de cette sensation de boule au ventre, l’impression que la moindre information allait s’échapper de ma tête. Mais croyez-moi, c’est tout à fait normal et gérable. Le secret, c’est de ne pas céder à la panique de vouloir tout réviser en dernière minute. La veille, ce n’est plus le moment d’ingurgiter de nouvelles notions. C’est plutôt le moment de consolider ce que vous savez déjà et, surtout, de prendre soin de vous. Une promenade pour prendre l’air frais, écouter de la musique douce ou même regarder un bon film qui vous détend, ça fait des miracles. Évitez les écrans juste avant de dormir. J’ai personnellement remarqué que me déconnecter complètement et lire un livre (pas sur l’assurance, hein !) aidait énormément à calmer mon esprit. Pratiquer quelques exercices de respiration profonde peut aussi apaiser votre système nerveux. Visualisez-vous réussir, serein, répondant aux questions avec assurance. C’est une technique simple mais redoutablement efficace pour transformer l’anxiété en confiance. N’oubliez pas que votre bien-être mental est tout aussi important que vos connaissances le jour J !Q2: Quelles sont les astuces pratiques pour s’organiser au mieux la dernière journée avant l’épreuve ?A2: L’organisation, c’est la clé pour éviter les imprévus et vous présenter l’esprit léger. La veille, il faut que tout soit prêt pour le lendemain. Premièrement, préparez toutes vos affaires : convocation, pièce d’identité valide (c’est crucial, ne l’oubliez jamais !), stylos, calculatrice si autorisée, et même une petite bouteille d’eau. Ne laissez rien au hasard. J’ai un ami qui a failli rater son examen car il n’avait pas vérifié sa carte d’identité qui était expirée ! Imaginez le stress… Donc, un petit checklist la veille au soir, c’est salvateur. Ensuite, et c’est un point que je ne saurais trop insister : votre sommeil. Visez une nuit complète et réparatrice. Oubliez la révision jusqu’à pas d’heure. Votre cerveau a besoin de repos pour consolider les informations et être au top de sa forme. Pour ma part, je me préparais aussi un bon petit-déjeuner pour le lendemain matin, histoire de ne pas avoir à y penser. Si votre centre d’examen est loin, prévoyez votre trajet à l’avance, voire faites-le une fois pour repérer. Anticipez tout ce qui pourrait vous faire perdre du temps ou générer du stress le matin même. Arrivez un peu en avance, histoire de vous familiariser avec les lieux et de ne pas être pressé.Q3: Au vu des évolutions du marché (digitalisation, IA, nouvelles réglementations 2025), est-ce que cela impacte ce qu’on doit réviser ou notre approche le jour J ?A3: Excellente question, car le monde de l’assurance est en constante ébullition ! Les nouvelles réglementations en 2025 sont une réalité. On parle de cybersécurité, de renforcement du devoir de conseil, d’obligations de conformité accrues, notamment concernant le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (LCB-FT). La digitalisation et l’IA transforment nos métiers. Alors, faut-il paniquer et tenter d’apprendre par cœur toutes les dernières lois votées la semaine dernière ? Non, pas du tout ! L’examen évalue avant tout vos fondamentaux et votre capacité à raisonner. Cependant, une compréhension globale des tendances actuelles est un atout indéniable. Je crois sincèrement qu’un courtier d’aujourd’hui, et encore plus de demain, doit avoir une vision claire de l’environnement dans lequel il évolue. Les questions ne porteront peut-être pas sur le détail précis d’une nouvelle directive en cours d’application, mais savoir que le secteur se tourne vers plus de transparence, que la protection des données est primordiale (merci le
R: GPD !) et que l’IA personnalise les offres, cela vous permet de contextualiser vos réponses et de montrer une réelle compréhension de notre profession.
C’est le “pourquoi” derrière ces évolutions qui compte, et comment elles redéfinissent notre rôle de conseil auprès des clients. C’est cette vision prospective qui fera la différence !






